<p>"Yesterday's European Council conclusions are the worst possible result for Greece and prove that Mr. Mitsotakis is completely incapable of defending the sovereign rights and interests of the country, at the most critical moment," SYRIZA said.</p><aside id="viral-news" class="links-tracker-container" data-area="Viral"/><p>The party's statement noted that "in 2020 we saw the most serious escalation of Turkish aggression since the time of Imia, with Turkey blatantly violating Greek sovereign rights by conducting illegal drilling for almost four months and coming within a few nautical miles of Kastellorizo and Rhodes."
Cependant, a noté SYRIZA, "non seulement nous avons le troisième sommet [de l'UE] sur la Turquie en quatre mois qui n'a pas réussi à adopter des sanctions", - et encore moins les sanctions sévères réclamées par le gouvernement - "mais un message clair a une fois de plus été envoyé. envoyé de tolérance pour l'agression de la Turquie, qui est libre d'intensifier ses violations jusqu'à la veille du Conseil européen de mars 2021, qui ne va même pas discuter de "sanctions ou mesures" mais seulement "d'outils et d'options".
SYRIZA a également souligné que l'UE s'est une fois de plus "montrée collectivement incapable de se montrer à la hauteur et de soutenir un État membre, ou de négocier efficacement avec un pays voisin fort". A la suite de ces événements, SYRIZA a déclaré, "le besoin d'un retour à une stratégie nationale structurée dans les affaires gréco-turques est plus grand que jamais, étant donné l'échec diplomatique catastrophique de M. Mitsotakis mais aussi les développements internationaux majeurs, les réalignements et les processus qui aura lieu dans notre région en 2021, ce qui nous concernera évidemment.
SYRIZA a averti que "si la Grèce continue pendant l'année cruciale de 2021 avec la même politique qu'en 2020, les conséquences pour le pays et la République de Chypre seront extrêmement graves et durables".