11.4 C
Bruxelles
Jeudi, Mars 28, 2024
Le choix des éditeursLa gravité du squat en Espagne

La gravité du squat en Espagne

AVERTISSEMENT : Les informations et opinions reproduites dans les articles sont celles de leurs auteurs et relèvent de leur propre responsabilité. La publication dans The European Times ne signifie pas automatiquement l'approbation de l'opinion, mais le droit de l'exprimer.

DISCLAIMER TRADUCTIONS : Tous les articles de ce site sont publiés en anglais. Les versions traduites sont réalisées via un processus automatisé appelé traductions neuronales. En cas de doute, reportez-vous toujours à l'article original. Merci de votre compréhension.

Juan Sánchez Gil
Juan Sánchez Gil
Juan Sanchez Gil - à The European Times Nouvelles - Principalement dans les lignes arrières. Reportage sur les questions d'éthique d'entreprise, sociale et gouvernementale en Europe et à l'international, avec un accent sur les droits fondamentaux. Donner également la parole à ceux qui ne sont pas écoutés par les médias généralistes.

Le squattage est un problème grave qui prend de plus en plus d'ampleur et implique de plus en plus d'acteurs politiques et sociaux, devenant un espace quotidien dans les médias, provoquant tensions et indignations chez tous les citoyens. Pour ceux qui les admettent et, dans certains cas, les promeuvent, je leur dis que "Serious n'est qu'un squat".

Face à un crime tacite, il n'y a pas de mesures efficaces pour s'attaquer au problème, au contraire, les squatters semblent rester impunis et sont de plus en plus défiants devant la Loi et la Société, car ils constatent fréquemment que cette conduite antisociale et illégale reste impunie. La loi laisse aujourd'hui les propriétaires sans protection et les forces de sécurité de l'État sans couverture légale pour protéger la propriété privée. Les mesures adoptées ces dernières années pour remédier à cette situation ont été manifestement inefficaces, des alternatives doivent donc être recherchées afin que les propriétaires ne soient pas dépossédés de leur propriété en toute impunité.

« Le droit de propriété est un droit constitutionnellement reconnu » et inscrit dans la Déclaration de Droits de l'homme. Nous avons tous le droit de jouir de notre propriété et personne ne peut nous en empêcher, sauf par la loi. Le squattage devrait être qualifié pénalement de "vol à main armée" et donnerait aux Forces publiques le pouvoir d'expulser automatiquement les squatters sans avoir besoin d'une ordonnance du tribunal, mais en les mettant à la disposition d'un juge une fois expulsé de la propriété squattée, avec une prison condamnation et suspension automatique de toutes les prestations sociales perçues et s'il y a des enfants mineurs qu'ils transmettent leur protection aux services sociaux.

En revanche, le squatter est un criminel et ne peut invoquer le principe de l'inviolabilité du domicile comme son droit de rester dans la propriété squattée. A partir du moment où il est hors-la-loi, le squatter ne peut en user à sa guise en prétendant que le logement est un droit fondamental ; cet argument ne peut être utilisé dans l'illégalité, comme la Cour constitutionnelle l'a déclaré. Dans un État de droit, le droit de celui qui le viole et en abuse ne peut prévaloir.

Lorsqu'un squattage est détecté et signalé, la police doit immédiatement procéder à son expulsion, pour laquelle la loi doit préciser qu'un squatter n'acquiert à aucun moment le droit de se trouver dans le logement squatté, c'est pourquoi il doit être d'urgence typifié comme un délit de « vol permanent » si à un moment donné ils ont réussi à s'inscrire, parfois favorisés par l'administration elle-même, soit en les enregistrant auprès des services publics, etc. Une fois le squattage connu et dénoncé, ces avantages sont automatiquement supprimés pour les ayant acquis par fraude de la loi, où la police est légitimée pour expulser les amis d'autrui sans avoir besoin d'une ordonnance judiciaire.

Une réforme législative s'impose de toute urgence pour définir le squattage d'une maison, à qui qu'elle appartienne, comme un vol définitif et pour accélérer l'expulsion par les forces de sécurité dès qu'elles ont connaissance de la propriété squattée. Définir le squat comme un vol, vu l'ampleur des biens volés, doit être puni de prison, il faut assurer l'exécution des peines, en revanche, le contrevenant perdra des aides publiques et des subventions et ne pourra plus prétendre à le bénéfice d'un logement officiel. Si nous récompensons le crime de squattage par des logements sociaux, nous faisons une énorme injustice aux personnes qui utilisent la voie légale pour prétendre aux aides et allocations officielles. Le squatter doit être clair que ce n'est pas une solution ou un raccourci pour obtenir un logement, le chemin du crime ne le mènera qu'en prison.

Un problème social s'ajoute à un squat : dégradation de la cohabitation du quartier, tension et insécurité, il faut y faire face, car chaque jour on voit plus de réactions violentes dans les quartiers et les voisins qui tentent de se faire justice, ce qui conduit à une insécurité et une dégradation notable de la qualité de vie d'une communauté, d'autre part, les lois de garantie sur le vol de propriété vont à l'encontre de la coexistence et de la justice sociale.

« Un crime sans châtiment ni peine serait de le permettre et de le tolérer » et représenterait une grande offense à la coexistence. Un gouvernement qui permet l'injustice est un gouvernement nuisible et dangereux pour la société.

- Publicité -

Plus de l'auteur

- CONTENU EXCLUSIF -spot_img
- Publicité -
- Publicité -
- Publicité -spot_img
- Publicité -

Doit lire

Derniers articles

- Publicité -