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Monday, Novembre 4, 2024
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Crise de l'éducation au Maroc : la responsabilité du Premier ministre Aziz Akhannouch mise en cause

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Lahcen Hammouch
Lahcen Hammouchhttps://www.facebook.com/lahcenhammouch
Lahcen Hammouch est journaliste. PDG de Bruxelles Media. Sociologue à l'ULB. Président du Forum de la Société Civile Africaine pour la Démocratie.

La crise persistante dans le secteur de l'éducation au Maroc suscite des inquiétudes quant aux conséquences dévastatrices qui pourraient résulter de la gestion actuelle. Après des années d'échec du système éducatif marocain, la confiance de la majorité des citoyens semble s'être érodée, soulevant des questions sur la responsabilité du gouvernement dirigé par Aziz Akhannouch, l'actuel Premier ministre et homme d'affaires aux relations milliardaires.

Les rapports, tant internationaux que nationaux, continuent de souligner l’état alarmant de l’éducation au Maroc. Selon une étude de Bank al-Maghrib, le taux d'analphabétisme au Maroc s'élève à 32.4%, mettant en évidence les carences persistantes du système éducatif. De plus, 67 % des enfants marocains ne répondent pas correctement à une seule question de compréhension écrite, révélant une crise profonde dans l'acquisition des compétences fondamentales.

Dans ce contexte, la responsabilité du gouvernement, dirigé par l’homme d’affaires et Premier ministre Aziz Akhannouch, devient un sujet de préoccupation, notamment en raison de son rôle dans la définition des politiques et des allocations budgétaires. Les statistiques du ministère de l'Éducation nationale montrent que la proportion du budget alloué à l'éducation reste en deçà des recommandations internationales, ne dépassant pas 5.5% du PIB en 2006.

La rareté des ressources financières allouées à l’éducation, comme le souligne une étude de l’UNESCO, met en évidence les choix politiques qui peuvent avoir un impact négatif sur le secteur éducatif. En tant que Premier ministre et acteur majeur du gouvernement, la responsabilité d'Aziz Akhannouch et de son équipe gouvernementale dans la crise de l'éducation est incontestable. Les décisions politiques, notamment la centralisation administrative et le manque de soutien dans les zones rurales, contribuent à aggraver les disparités éducatives.

Il est impératif que le gouvernement, sous la direction d'Aziz Akhannouch, assume sa part de responsabilité dans la crise de l'éducation en reconnaissant les lacunes existantes et en prenant des mesures concrètes pour réformer le système. Cela implique une révision des politiques budgétaires, des réformes structurelles et un engagement en faveur d’une éducation de qualité pour tous les citoyens marocains. En bref, la responsabilité du gouvernement dans cette crise de l'éducation ne peut être ignorée, et une action significative est nécessaire pour garantir un avenir éducatif meilleur à la jeunesse marocaine.

Les grévistes, exigeant l'annulation de toutes les décisions disciplinaires et sanctions liées à leurs activités militantes, rejettent fermement le statut, tant dans la forme que dans le contenu. Leur appel comprend également une demande pressante d’augmentation des salaires et des retraites. Malheureusement, cette situation a un impact négatif sur les étudiants, qui subissent les contrecoups de ce conflit.

A l’ombre de cette crise éducative persistante, la responsabilité du gouvernement, incarné par Aziz Akhannouch, Premier ministre et homme d’affaires milliardaire, est mise en avant. La nécessité de réformes en profondeur du système éducatif marocain devient impérative pour assurer un avenir éducatif plus prometteur aux jeunes du pays.

Le gouvernement et son Premier ministre Aziz Akhannouch avaient promis de créer un million d'emplois et de sortir un million de familles de la pauvreté. Les partis de la majorité gouvernementale avaient également promis de porter les salaires des enseignants à 7,500 dirhams en début de carrière, avec une augmentation d'environ 300 dollars, ainsi que d'augmenter les salaires des agents du secteur de la santé.

Après une inflation d'intentions et de promesses, nous vivons désormais dans un silence inquiétant, avec un gouvernement qui ne dit rien sur la lutte contre la corruption ou sur la réforme fiscale.

Publié initialement à Almouwatin.com

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