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Lundi, Avril 29, 2024
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Pape François : Souvenirs du prêtre qui l'a baptisé

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Nouvelles du Vatican

Par le Pape François

Il [le P. Enrico Pozzoli] a été interpellé par tous ceux qui avaient un problème particulier, dans la certitude qu'il ferait tout pour les aider. Les gens se tournaient aussi vers le père Pozzoli lorsqu'ils avaient besoin de conseils.

Le Père Pozzoli avait le sens des réalités. Et quand quelque chose d'inhabituel se produisait, il avait une façon particulière de s'exprimer. Il amenait sa main au sommet de sa tête et la grattait avec ses cinq doigts en disant : « Canastos… ! » Ce fut son seul geste d'impatience. C'était un homme d'un grand bon sens, ce qu'il montrait dans les nombreux conseils qu'il donnait aux gens. Pour cette raison, il était très apprécié de tous.

Il a passé des heures et des heures au confessionnal et, au fil des ans, est devenu un point de référence pour tous les salésiens de Buenos Aires et des communautés environnantes. Il fit de même avec de nombreux prêtres diocésains. Il allait aussi périodiquement pour entendre les confessions des Sœurs de Marie Auxiliatrice. C'était vraiment un grand confesseur.

[Après avoir décidé de devenir prêtre, la première personne à laquelle Jorge Mario Bergoglio a parlé de sa décision d'entrer au séminaire était son père, en 1955.]. Je savais qu'il me comprendrait plus que ma mère. En fait, il a été immédiatement enthousiaste. Ma mère n'a pas eu la même réaction. Elle m'a dit que je devrais réfléchir longuement et sérieusement avant de prendre cette décision, qu'il serait préférable pour moi de terminer l'université et d'obtenir mon diplôme.

[Deux ans plus tard, Bergoglio avait un grave problème de santé] C'était en août 1957. J'ai commencé à ressentir des pincements dans mon poumon droit. La douleur ne s'est pas arrêtée. Ma santé s'est effondrée, ils m'ont emmené d'urgence à l'hôpital, j'étais très faible, au point que je ne pouvais plus me tenir debout, [et] ils m'ont mis sur une civière » [il risquait de mourir d'une infection pulmonaire et les médecins lui ont retiré la partie supérieure de son poumon droit].

[Quand Bergoglio a dit à Pozzoli, un salésien, qu'il avait l'intention de devenir jésuite], le Père Pozzoli a partagé ma décision et n'a pas proposé que je rejoigne les Salésiens à la place de la Compagnie de Jésus. Il a toujours respecté mon choix ; ce n'était pas le genre de prêtre qui faisait des prosélytes. Il s'est renseigné et m'a dit que les jésuites m'accepteraient dans leur séminaire en mars. C'était en novembre. Il a ajouté qu'il n'était pas opportun pour moi de rester à la maison pendant ces quatre mois. J'avais aussi besoin de récupérer physiquement car l'opération que j'avais subie avait été très pénible. Alors, il s'est adressé à son supérieur direct, l'inspecteur salésien de Buenos Aires, à qui il a expliqué ma situation.

La biographie du maître de la foi Don Enrico Pozzoli, écrite par Ferruccio Pallavera et publiée par Libreria Editrice Vaticana, sera présentée le 10 novembre, à 6 heures, à Asti en présence de Mgr Marco Prastaro. Un deuxième événement se tiendra à Rome le 12 novembre à l'Université pontificale urbanienne, à 6.30h14. Le cardinal Luis Antonio Tagle, préfet de la Congrégation pour l'évangélisation des peuples devrait être présent, ainsi que le ministre de la Défense, Lorenzo Guerini ; et Don Angel Fernandez Artime, Recteur Majeur des Salésiens. Le 3 novembre, la scène se déplacera en Lombardie, avec une présentation, à 8.45 heures, en présence du cardinal Leonardo Sandri, préfet de la Congrégation pour les Églises orientales, dans l'église paroissiale de Senna Lodigiana. La dernière présentation aura lieu deux jours plus tard à Lodi, dans le palais épiscopal, où à XNUMXhXNUMX avec l'évêque de la ville, Marizio Malvestiti, et le directeur de L'Osservatore Romano, Andrea Monda, présent.

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