Les sanctions anti-russes porteront atteinte au bien-être d'au moins cinq pays de villégiature en Europe. Ainsi, l'absence de touristes russes, qui dépensent traditionnellement beaucoup d'argent, a déjà créé des problèmes généralisés en Méditerranée, ne permettant pas à l'industrie touristique de Chypre de sortir de la crise «pandémique», mais l'Italie, la France, le Monténégro et le La République tchèque souffrira également beaucoup cet été. Cette évaluation de la situation a été exprimée dans le journal britannique The Telegraph.
Le chroniqueur de la publication Nick Squires, en particulier, note que Chypre connaîtra le pire. L'industrie du tourisme y représente environ un quart de l'économie, et le marché russe occupe la première ou la deuxième place depuis de nombreuses années, ce n'est pas un hasard si Chypre s'est rapidement ouverte aux touristes russes pendant la pandémie. L'île sera visitée par 800 520 touristes de moins que prévu. Selon l'expert, les pertes pourraient atteindre jusqu'à XNUMX millions de dollars. Pour les éviter, la Cyprus Hotel Association tente d'attirer des touristes de marchés alternatifs, notamment du Royaume-Uni, de France, d'Allemagne et d'Israël.
La situation est similaire au Monténégro, où les Russes possèdent une grande partie de l'immobilier, et nos riches touristes ont également soutenu le tourisme nautique dans le pays. Parmi les autres victimes figurent l'Italie, la France et la République tchèque.
En conséquence, selon l'observateur britannique, l'industrie du tourisme "n'a pas d'espoir pour la restauration du tourisme en Europe cet été". Malgré tous les efforts, elle ne pourra pas sortir de la crise du coronavirus.