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Vendredi, mai 10, 2024
InternationalLa CE impose de nouvelles règles aux entreprises en ligne

La CE impose de nouvelles règles aux entreprises en ligne

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Gaston de Persigny
Gaston de Persigny
Gaston de Persigny - Journaliste à The European Times Actualité

La Commission européenne a proposé de nouvelles règles strictes pour les entreprises en ligne telles qu'Uber et les nombreuses plateformes de livraison de nourriture, selon un communiqué publié sur le site Internet de l'institution. La proposition de la CE vise à classer les entreprises en ligne en tant que chauffeurs, coursiers, nettoyeurs, entraîneurs de fitness, masseurs et autres travailleurs qui utilisent des applications et des plates-formes sur Internet pour trouver du travail en tant qu'employés. En acquérant un statut d'emploi, les travailleurs auront accès à l'ensemble du système social des pays dans lesquels ils vivent, tels que le droit au salaire minimum, aux congés payés, aux allocations de chômage et aux droits de santé, etc. Certaines entreprises dans ce domaine classent leurs travailleurs en tant qu'indépendants ou entrepreneurs indépendants. De cette façon, les entreprises économisent des coûts et n'ont aucune obligation légale sérieuse envers les travailleurs. Généralement, les personnes qui souhaitent avoir leur temps libre ou qui recherchent un revenu supplémentaire travaillent pour ces entreprises. Cependant, la pandémie a révélé les problèmes associés à ce modèle, comme la paralysie de la économie frappé les entreprises, et de nombreux employés se sont retrouvés sans droit aux allocations de chômage, etc.

Sans surprise, Uber et d'autres grandes sociétés de concerts s'opposent aux plans de la CE, qui pourraient sérieusement affecter leurs modèles commerciaux. Les nouvelles règles augmenteront leurs dépenses de milliards de dollars. La société de voyages partagée Uber affirme que les nouvelles règles transféreront les coûts aux utilisateurs finaux, et environ 250,000 135,000 coursiers et XNUMX XNUMX chauffeurs dans Europe vont perdre leur emploi. Plus de 28 millions de personnes dans l'Union européenne travaillent via des plateformes numériques, et leur nombre devrait passer à 43 millions d'ici 2025, selon la Commission européenne, ajoutant que beaucoup de ces travailleurs sont classés comme travailleurs indépendants. Entre 2016 et 2020, les revenus de la gig economy ont été multipliés par près de 5, passant de 3 milliards d'euros à 14 milliards d'euros. La proposition de la Commission européenne doit être discutée au Parlement européen et au Conseil européen. Une fois adoptées par ces institutions, chaque État membre de l'UE aura 2 ans pour introduire les nouvelles règles dans sa législation nationale.

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