Le gouvernement américain a publié des milliers de documents du FBI et de la CIA relatifs à l'assassinat du président Kennedy. S'ils montrent l'étendue de l'enquête, ils montrent également des omissions étonnantes de la CIA
Les Archives nationales des États-Unis ont publié près de 1,500 1963 documents liés à l'enquête sur l'assassinat du président John F. Kennedy en XNUMX, a rapporté l'Associated Press.
Les documents incluent des télégrammes et des notes de la CIA discutant des visites antérieures mais jamais complètement expliquées d'Oswald aux ambassades soviétique et cubaine au Mexique.
Les documents comprennent des télégrammes et des notes de la CIA discutant des visites antérieures mais jamais complètement expliquées d'Oswald dans les ambassades soviétique et cubaine au Mexique, ainsi que des discussions dans les jours qui ont suivi l'assassinat de l'implication potentielle de Cuba dans l'assassinat de Kennedy.
Rien n'indique dans l'immédiat qu'ils contiennent de nouvelles révélations qui pourraient changer radicalement la compréhension du public des événements entourant l'assassinat de Kennedy à Dallas le 22 novembre 1963 par Lee Harvey Oswald.
Cependant, la dernière tranche de documents a été attendue avec impatience par les historiens et d'autres qui, des décennies après l'assassinat de Kennedy, restent sceptiques qu'en pleine guerre froide, un jeune homme malade mental avec un fusil commandé par la poste, un ancien commando de marine qui vivait en Union soviétique et tué en novembre 1963 par Jack Ruby, n'aurait pas pu agir seul. Certains pensaient qu'il avait été utilisé par l'URSS, des opposants politiques au président américain ou par Cuba.
Les documents comprennent des télégrammes et des notes de la CIA discutant des visites antérieures mais jamais complètement expliquées d'Oswald dans les ambassades soviétique et cubaine au Mexique, ainsi que des discussions dans les jours qui ont suivi l'assassinat de l'implication potentielle de Cuba dans l'assassinat de Kennedy.
Avec des personnages obscurs comme John McCone, alors directeur de la CIA, qui a sciemment caché des informations aux enquêteurs de la commission. Il semble qu'il n'ait mentionné les contacts entre l'Agence et Oswald qu'en 1963. Son courrier a été surveillé dès 1962, après sa tentative d'acquérir la nationalité soviétique.
Le brouillard reste épais
Pendant ce temps, Biden a nommé Caroline Kennedy, la fille du président assassiné, ambassadrice des États-Unis en Australie, a annoncé la Maison Blanche dans un communiqué.
Elle est la dernière enfant survivante du président John F. Kennedy, assassiné en 1963. A l'époque de Barack Obama, elle était ambassadrice au Japon. Sa nomination a été annoncée près d'un an après le début de la présidence de Joe Biden, à un moment où les sénateurs républicains retardent le processus d'approbation des postes diplomatiques clés. Sa nomination pour le nouveau poste doit être approuvée par le Sénat.
A Canberra, il sera chargé de renforcer le front commun entre les Etats-Unis et l'Australie sur fond de tensions avec la Chine dans la région indo-pacifique.