"L'homme de l'ombre" - le Bulgare dans les négociations pour les négociations entre Israël et le Hamas
Le célèbre tube arabe du passé récent de l'Egyptien Amr Diab "Tamaali Maak", traduit par "Toujours avec vous", interprété par le célèbre acteur israélien Tsahi Khalevi. L'interprétation de cette chanson est assez symbolique de la trêve conclue entre Israël et le Hamas.
Une trêve dans laquelle il y a une trace bulgare – le Bulgare Miroslav Zafirov, qui travaille au Bureau des Nations Unies pour le processus de paix au Moyen-Orient et a été pendant des années la liaison de l'ONU avec le Hamas et d'autres organisations palestiniennes, ainsi qu'avec l'État israélien
J'ai terminé l'histoire au Moyen-Orient et j'y travaille depuis de nombreuses années. Initialement en tant que diplomate au ministère des Affaires étrangères, et au cours des sept dernières années en tant qu'employé de l'ONU », a déclaré Zafirov à bTV.
Afin de parvenir à la trêve difficile, a-t-il déclaré, "l'entêtement des médiateurs a prévalu".
Nous avons marché sur la réticence des deux parties à négocier. Les termes et l'avenir de cette trêve sont d'abord discutés et des négociations sont en cours entre les différents pays sur le terrain », a déclaré Zafirov, qui a déclaré s'être entretenu quotidiennement avec le Hamas depuis 72 heures avec le coordinateur spécial de l'ONU pour le Moyen-Orient. Est.
Le but de ces efforts est de leur parler avec obstination dans ces moments critiques, de discuter avec eux », a expliqué Zafirov. Selon lui, c'était extrêmement important « dans les dernières heures de l'escalade, de préciser quelles lignes ne doivent pas être franchies ».
Le Hamas a semblé tendre la main et essayer d'exercer une influence parmi la population de Jérusalem-Est et non d'une petite partie de la Cisjordanie et une partie importante des points clés en Israël lui-même parmi la population arabe étaient les « lignes rouges » qu'Israël désapprouvait fortement. . veut négocier.
Le Hamas, d'autre part, a imposé aux forces de sécurité israéliennes d'arrêter leur comportement agressif envers les Palestiniens à Jérusalem-Est. Ce sont les deux choses que les deux parties regardent et pour lesquelles elles ne veulent toujours pas négocier », a révélé Zafirov.
« Si cet accord est violé, alors nous entrerons dans une guerre plutôt dévastatrice, qui irait au-delà de ce dont nous nous souvenons de 2014 », a déclaré le diplomate.
Ce nœud n'est pas délié. Il est attaché depuis de nombreuses années, et j'ai un peu peur qu'il soit un peu incapable de se détacher. Et je ne suis pas convaincu que cela n'arrivera peut-être pas dans les mois à venir, mais tôt ou tard, cela se reproduira », prédit Miroslav.
Il existe une formule selon laquelle les deux parties – je ne parle pas du Hamas, mais de l'élite politique palestinienne et d'Israël – sont prêtes à s'asseoir à la table et à négocier selon des paramètres déjà connus des médiateurs. Il y en a qui seront renégociés. Nous pensons constamment à ce qu'il faut faire la prochaine fois et pour vous dire honnêtement, même les pays avec des compétences de médiation beaucoup plus grandes, je pense qu'il était sur le point de dire qu'il ne pouvait pas faire face.
Tous les médiateurs doivent être félicités », a commenté le diplomate.
« Je ne peux pas dire si le fait d'être bulgare m'aide. Au contraire, cela aide une personne à essayer de rester normale. Laissez-moi vous dire que ce n'est pas toujours très facile. La tension est très élevée, surtout dans de tels moments, car c'est peut-être beaucoup de spéculation, mais c'est peut-être ce qui les unit – je pense que les Israéliens, les Palestiniens et les Bulgares sont extrêmement têtus quand nous voulons être têtus. cela aide beaucoup », déclare Miroslav Zafirov.
Il dit qu'il n'est pas sûr de comprendre les deux parties au conflit, bien que de nombreuses personnes aient fait carrière ces dernières années, prétendant comprendre le Hamas et Israël.
« Ce qui se passe en Israël, en Palestine, dans l'organisation Hamas elle-même est très difficile (à comprendre), surtout si vous n'êtes pas de ce quartier », a commenté Miroslav.
Tant que les problèmes sociaux et économiques de Gaza ne seront pas résolus, le cycle de la violence ne s'arrêtera pas, a prédit le diplomate.
Après le long marathon, notre diplomate ne se reposera pas. Il doit rencontrer l'une des délégations lundi, suivi d'une série de pourparlers sur le cessez-le-feu.
